Maria, Ecole du Tantra, Formation Psychodynamique de Relation et Communication de Corps, cycle 4, 2023

Ce fut un moment important pour moi qui m’a appris ou peut-être m’a rappelé beaucoup de choses sur moi-même. Un temps rempli d’exercices, de rituels qui ont touché profondément nos cordes subtiles. Le grand pouvoir de ces ateliers réside dans le fait de quelque chose comme la thérapie de groupe, je pense qu’aucune thérapie individuelle n’est capable de donner des sentiments et des impressions aussi forts que la thérapie de groupe, lorsque nous rencontrons des âmes, des situations, des peurs, des blessures mais aussi des joies si similaires. d’autres personnes aux nôtres. Parfois, c’est difficile à croire, presque identique…

Puis passe le sentiment d’isolement, une sorte de frustration provoquée par l’aliénation et la solitude dans nos têtes. Souvent, l’exercice ne sera pas achevé si nous ne sommes pas pleinement engagés et attentifs envers et pour l’autre personne. Il est très difficile d’être égoïste dans une telle situation. Nos cœurs et nos yeux s’ouvrent aux autres. Sur la synchronicité de la vie. Comment nous sommes connectés.

En même temps, j’ai réalisé combien souvent je ne peux pas subvenir à mes propres besoins, je ne communique pas, je cherche des sujets alternatifs. Une formation si solide en énergie yin et yang, à laquelle seul cet atelier m’a ouvert la conscience. Cette fois m’a fortement montré à célébrer chaque instant avec une respiration tendre et sensuelle.

Dans sa belle et simple banalité. Je me suis souvenu que j’aime le silence et la tendresse, et que se détendre, donner de l’espace et du mouvement donne de la liberté. Qu’un cœur ouvert est la capacité de distinguer le bien du mal et de couper court au regret et au sacrifice. J’ai quitté l’atelier avec gratitude, émotion et guérison. Un souffle qui aide à dissoudre ma tête brûlante de rébellion. Je n’attends rien, je prends ce qui vient, parce que c’est sacré de toute façon. Je célèbre l’ordinaire dans mon souffle. Maintenant, vous devez vous souvenir de tout cela et essayer de le mettre en œuvre chaque jour dans vos activités.

Ce n’est pas la fin de l’atelier. Comme le disaient les professeurs, le tantra dure pour toujours.

Mme Maria le Lutin